20100307

un peu de v/vm

contrairement aux multiples producteurs qui pillent adroitement le passé phonoculturel pour des boucles accrocheuses (de diddy à madlib) et dans une direction différente des plunderphonics d'oswald, v/vm encadre l'auditeur dans une translation où un élément musical commercial est partiellement détruit pour révéler une musique d'artefacts (glitchs) devenue agréable parce que familière.

alors que certaines oeuvres noise refusent d'ouvrir des accès à l'interprétation perceptibles aux néophytes, ces érosions digitales demeurent compréhensibles tout en conservant leur aspect résolument abrasif!







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